"Soyez sobres, restez vigilants: votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. Résistez-lui avec une foi inébranlable, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères et sœurs dans le monde. Le Dieu de toute grâce vous a appelés en Christ à sa gloire éternelle. Après que vous aurez souffert un peu de temps, il vous rétablira lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables." I Pierre 5.8-10
Récemment plusieurs personnes qui traversent ou ont traversé des circonstances difficiles m'ont dit combien elles se sentaient seules, n'ayant personne autour d'elles ayant connu d'épreuve semblable. Moi-même il m'est arrivé plusieurs fois, entourée d'inconnus qui semblaient vivre dans un monde heureux, d'avoir la pensée fugace que j'étais certainement la seule à connaître la tragédie de la perte d'un bébé, de me convaincre que tous ces gens ne pouvaient pas avoir la moindre idée de la tristesse qui me remplissait. Mais ces pensées sont tordues, elles sont basées sur une perception faussée et centrée sur soi-même. Non, nous ne sommes pas seuls. Nous vivons dans un monde entièrement contaminé par la malédiction du péché et aucune vie ici-bas n'échappe à la souffrance, sous une forme ou une autre.
C'est sûr, peu de gens ont traversé exactement la même épreuve que moi. Dans mon entourage, je ne connais personne qui ait vécu une perte semblable. Mais je fais partie de la même race que ces millions qui m'entourent et qui ont connu, ou connaîtront un jour le déchirement de la mort et l'agonie de la douleur, qu'elle soit physique ou morale. Et j'en ai conscience aujourd'hui comme jamais auparavant. Je peux regarder les gens qui défilent dans la rue et savoir que derrière les visages souriants et les boutades légères se cachent des cœurs qui souffrent, à cause de ce mal qui nous ronge à tous.
Je peux aussi penser à mes frères et sœurs dans le monde entier, et c'est un réconfort de savoir que nous ne sommes pas seuls. Nous pouvons tenir ferme, nous pouvons résister, parce que nous avons une espérance commune. Dieu nous a appelé à une gloire éternelle. La rédemption arrive. Elle sera là plus vite que nous pensons et nous dirons : "Nous n'avons souffert que pour si peu de temps."
Et quand je regarde les inconnus défiler, je me demande, cette espérance-là, l'ont-ils aussi ?
Récemment plusieurs personnes qui traversent ou ont traversé des circonstances difficiles m'ont dit combien elles se sentaient seules, n'ayant personne autour d'elles ayant connu d'épreuve semblable. Moi-même il m'est arrivé plusieurs fois, entourée d'inconnus qui semblaient vivre dans un monde heureux, d'avoir la pensée fugace que j'étais certainement la seule à connaître la tragédie de la perte d'un bébé, de me convaincre que tous ces gens ne pouvaient pas avoir la moindre idée de la tristesse qui me remplissait. Mais ces pensées sont tordues, elles sont basées sur une perception faussée et centrée sur soi-même. Non, nous ne sommes pas seuls. Nous vivons dans un monde entièrement contaminé par la malédiction du péché et aucune vie ici-bas n'échappe à la souffrance, sous une forme ou une autre.
C'est sûr, peu de gens ont traversé exactement la même épreuve que moi. Dans mon entourage, je ne connais personne qui ait vécu une perte semblable. Mais je fais partie de la même race que ces millions qui m'entourent et qui ont connu, ou connaîtront un jour le déchirement de la mort et l'agonie de la douleur, qu'elle soit physique ou morale. Et j'en ai conscience aujourd'hui comme jamais auparavant. Je peux regarder les gens qui défilent dans la rue et savoir que derrière les visages souriants et les boutades légères se cachent des cœurs qui souffrent, à cause de ce mal qui nous ronge à tous.
Je peux aussi penser à mes frères et sœurs dans le monde entier, et c'est un réconfort de savoir que nous ne sommes pas seuls. Nous pouvons tenir ferme, nous pouvons résister, parce que nous avons une espérance commune. Dieu nous a appelé à une gloire éternelle. La rédemption arrive. Elle sera là plus vite que nous pensons et nous dirons : "Nous n'avons souffert que pour si peu de temps."
Et quand je regarde les inconnus défiler, je me demande, cette espérance-là, l'ont-ils aussi ?