La beauté d'internet est que l'on peut, comme jamais auparavant, lire témoignage après témoignage de personnes qui ont vécu des drames semblables. Cette grande toile semble réunir des gens du monde entier, que l'on n'aurait jamais croisé dans la vie, et en lisant leurs histoires, on se sent moins seul.
Le problème, c'est que tous ces écrits virtuels, même s'ils donnent l'illusion d'un lien invisible, un sentiment de communauté, ne sont pas forcément édifiants. Les épanchements d'émotions diverses peuvent émouvoir, mais trop souvent, ils sont vides de réponses sûres et solides. Les témoignages qui permettent réellement d'apprendre et d'avancer, sont rares. Mais il faut se rendre à l'évidence : ce n'est pas la souffrance qui donne une légitimité à un écrit, c'est sa capacité à tourner nos regards vers ce qui est vrai, pur, juste et aimable. Ce qui nous donne de l'espérance.
Alors je veux apprendre à choisir ce que je lis et ce que j'écoute. Le choix doit être conscient, car à force d'ingurgiter tout ce que l'on croise, on finit par se laisser convaincre par des raisonnements faussés, et à entretenir de mauvais sentiments. Pour moi, en ce moment, il s'agit des personnes qui ont vécu des pertes comparables à la mienne, et je dois faire un effort éclairé d'écouter celles qui au travers de leur épreuves on appris à se confier en Dieu et à tourner les regards vers les promesses de sa parole. Mais cela s'applique à tant d'autres domaines aussi : l'éducation des enfants, les difficultés relationnelles, les conflits au travail ou dans le couple, la maladie, et j'en oublie... Nous pouvons choisir qui nous écoutons. Faisons le bon choix.
"Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées." Philippiens 4.8
Le problème, c'est que tous ces écrits virtuels, même s'ils donnent l'illusion d'un lien invisible, un sentiment de communauté, ne sont pas forcément édifiants. Les épanchements d'émotions diverses peuvent émouvoir, mais trop souvent, ils sont vides de réponses sûres et solides. Les témoignages qui permettent réellement d'apprendre et d'avancer, sont rares. Mais il faut se rendre à l'évidence : ce n'est pas la souffrance qui donne une légitimité à un écrit, c'est sa capacité à tourner nos regards vers ce qui est vrai, pur, juste et aimable. Ce qui nous donne de l'espérance.
Alors je veux apprendre à choisir ce que je lis et ce que j'écoute. Le choix doit être conscient, car à force d'ingurgiter tout ce que l'on croise, on finit par se laisser convaincre par des raisonnements faussés, et à entretenir de mauvais sentiments. Pour moi, en ce moment, il s'agit des personnes qui ont vécu des pertes comparables à la mienne, et je dois faire un effort éclairé d'écouter celles qui au travers de leur épreuves on appris à se confier en Dieu et à tourner les regards vers les promesses de sa parole. Mais cela s'applique à tant d'autres domaines aussi : l'éducation des enfants, les difficultés relationnelles, les conflits au travail ou dans le couple, la maladie, et j'en oublie... Nous pouvons choisir qui nous écoutons. Faisons le bon choix.
"Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées." Philippiens 4.8